Nouveau problème

- Quoi ?! Vous vouliez me tu...

Elle se relève et saisit sa sacoche comme un bien précieux.

- Bien sur que non. Au contraire, c'est pour ça qu'on voulait pas te voir participer, si ton pouvoir te tue, reste là.

- Désolé j'ai du mal avec les humains et les gens de ce style, mes paroles sont mal interprétées...

Elle reste quand même à l'écars, craintive.

- Ecoutez, j'ai 20 ans, j'ai deux enfants que j'ai du élever à partir de 16 ans toute seule, je ne veux pas mourir maintenant paèrs tous les efforts que j'ai fait pour eux, je n'ai pas terminé de les élever, donc si je tue, on risque de me tuer aussi et de rentrer en guerre, et ça je ne veux pas que mes enfants soient en danger à cause de moi.

- Tu es sure de venir ?

- Oui, je veux enfin que les dieux me fichent la paix, surtout Cray.

- Très bien alors...

Elle attend la suite de sa phrase comme si cetai très important

- Bon d'accord...

Tout d'un coup elle se fige, plu un batement de paupières, comme une statue.
On entend un éclat de rire derrière Tarial.

- Euh il se passe quoi ?

- et merde...

- Salut Sinartok.

Ricanement.

- Oh je viens dire te dire bonjour, et au passage récupérer ce qui m'appartient.

Elle s'avance et va à côté de la femme, figée. Elle s'appuit dessus.

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Tarial donne un coup de pied et Sinartok en profite pour téléporter la fille.

Elle chope son pied. Elle le regarde, ses yeux deviennent entièrement blanc et sa jambe se fige.

- Bon tant pis, je m'en passerais. Tiens, débrouille toi avec ta jambe, inconnu.

Sinartok rétablie la jambe de Tarial.

- Je suis un Celestien.

- Comme si je savais pas. Et ton pote, c'est qui l'minus ?

Elle l'inspecte de la tête au pied.

- Tu aurais pu me dire que c'était le fameux Tarial. La politesse est de me présenter comme de bons vieux amis.

Elle rigole.

- Tu seras toujours mon petit imbécile préféré.

- Si tu le dis.

- Tu la connais ?

- C'est une amie à Guallame.

- C'est bizarre, lui il m'aime bien. T'es vraiment qu'un jaloux toi !

- Guallame est un bandit !

- Tu n'as pas l'air de l'aimer.

- Tu es complètement jaloux parce que lui a reussit et il s'en fou d'être un psycopathe, il se fait respecter ! La preuve, pour que je respecte quelqu'un, il faut vraiment le faire.