Découverte d'un nouveau personnage.

Dans une grande salle, beaucoup de gens de haut-rangs font la fête. Parmi eux, une jeune femme (la seule), assise sur les genoux d'un officier, rigole comme pas possible avec des généraux, un verre d'alcool à la main.
A un moment, elle se lève et manque de tribucher, mais un homme la rattrape. Ils rient tous, ils n'arrètent pas. Elle se met debout sur les genoux de l'homme où elle était assise il y a quelques secondes, et lève son verre en tenant en équilibre.

- A Mijestia !!

Tous les hommes répètent en coeur et lèvent leur verre. Ils boient tous d'un coup sec et jette les verres sur un mur, ils se fracassent en morceau.
La jeune femme est morte de rire. Elle a des cheveux turquoises qu'elle a remonté en un chignons trés décoiffés. Ses yeux sont de la même couleur. Elle est simplement vétue d'un short noir assez court avec des botines bleues foncées, ainsi qu'un débardeur de la même couleur.
Un seul homme ne fait pas la fête, Mike, au fond de la salle, assis sur une chaise, le regrd sombre et les bras croisés.

Une voix résonne dans la salle.

- Madame Thuringwethil (Putain de nom de merde) est attendue dans la pièce d'à coté SEULE merci.

Tout le monde arrète de rire et on écoute attentivement.

- Purée, ça faisait longtemps qu'on m'avait pas appellée comme ça...

Elle saute sur le sol.

Général : Va y, Thuri, on t'appelle s'il se passe quelque chose ! Mais dépèche, poulette !

- Ok, merci, je reviens.

Elle sort et rentre dans la salle à côté. Il fait noir et elle ne voit rien. La porte se referme.

- Y a quelqu'un ?

- Ton oncle. Une vrai tuerie la petite... Blague à part.

Le sportes se claquent et se bloquent.

- Ça fait un bail, disons... dix ans ?

Il fait noir. Son coeur bas à cent à l'heure quand les portes se vérouille.

- Sept ans exactement.

Elle déglutie.

- Et vous êtes toujours pas rassurant, mon oncle.

Elle ne sait pas où il est puisqu'ils sont dans le noir. Elle pose sa main sur un poignard accroché sur le mur.

Elle lache un petit rire, mais pas trés rassuré quand même.

- Vous ne l'étiez pas encore, quand j'étais au chateau.

- Bon, pourquoi êtes-vous là ? Qu'est-ce que vous me voulez ?! Pourquoi vous ne voulez pas allumer la lumière, vous voulez me tuer ?

-C'est moi qui pose les question.

Il allume la lumière.

- Tu te rappelle de ton frère soi disant incompétent ?

Elle le regarde dans les yeux et ne le quitte pas, même si elle respire assez vite. Elle est contre la porte, elle essaye la clancher mais elle est bien fermée.

- Oui, plus que lui, apparement.

- Vous ne me croyez pas quand je disais que je méritais ce trône, j'ai survécu toute seule en ayant dix anx. Maintenant, je viens récuprer ma place.

Elle a toujours eut un peu peur de son oncle, mais elle commence à déstresser. Elle passe la main dans sa frange pour dégager un peu ses yeux. Elle ne quitte pas des yeux son oncle et enlève sa main du poignard.

- Il n'a jamais été en état, depuis le début. Je suis sa jumelle, je mérite aussi ce trône ! Voir plus que lui, j'ai plus de talents que lui. Je serais la première femme qui régnerait sur l'île, vous ne pouvez pas me refuser ça mon oncle !

Elle se retourne, face a la porte.

- je ne peux rien faire pour vous.

- Parce que Cyore n'est pas capable de gérer le royaume, lui même le disait étant petit. Rien d'autre.

Elle lache un rire exaspéré.

- En paix, évidement ! Je ne cherche que ça ! En étant sur le trône, j'égaliserais les droits entre les dragons et les victorieux, à votre vais, pourquoi se rebellent-ils contre vous ? Ce sont des esclaves ! Je connais l'histoire de Mijestia Sr, elle n'a pa fait la guerre pour son bon plaisir, ce n'était qu'une vengeance. Les Victorieux sont soumit aux dragons.

Elle se retourne, et sourtient son regard vers son oncle.

- Mmmh... Je vois. Dans ce cas nous nous reverrons très prochainement. Mais ne t'attend pas à ce que je sois aussi gentil. Ce sera en ennemi !

La porte se désintègre sous un gros vacarme et Guorronatte se téléporte en laissant un dragon de pierre vivant.

Thuri ne fait pas attentio au dragon de pierre. Elle se laisse glisser au sol. Elle met sa tête entre ses mains et commence à pleurer.

- Mon oncle...