Encore un changement de sujet.

- Si c'est pour faire un marché, autant que je parte tout de suite. C'est non.

- Si tu penses que je lui suis fidèle, détrompe toi. Je compte la tuer après qu'on vous aura renversé.

Elle ne répond pas.

- Il y a de ça. Je n'ai plus aucuns amis, aucune famille qui m'aime ou se rappelle de moi, ici. La-bas, j'ai tout.

- Et ça sera qui ? La peste que je suis devenue ?

Elle se lève, en colère. Pour la première fois depuis le début de la discution, elle le regarde dans les yeux.

- Je ne serais sans doute pas ta cible, mais tu seras la mienne. Mike n'est rien d'autre qu'une marionette depuis le début, tu porterais sa mort du frère de ta défunte copine sur la conscience ? Je ne pense pas.

Pour se calmer, elle sort une cigarette, oubliant sa promesse d'arreter.

- Ah, on dirait que vous êtes au plus bas. De toute façon, qu'ils soient là ou pas, c'est pareil.

Elle s'accroupie et lui met la cigarette devant sa visage, elle le regarde dans les yeux.

- Si j'avais réelement une famille ou quelqu'un qui m'aime pour ce que je suis, elle m'empêcherait de me tuer à petit feu avec cette merde.

- Ah, on dirait que vous êtes au plus bas. De toute façon, qu'ils soient là ou pas, c'est pareil.

Elle s'accroupie et lui met la cigarette devant sa visage, elle le regarde dans les yeux.

- Si j'avais réelement une famille ou quelqu'un qui m'aime pour ce que je suis, elle m'empêcherait de me tuer à petit feu avec cette merde.

- Frère et soeur, blanc et noir. On n'est pas pareil, assumons le au lieu de se donner rendez-vous au bord d'un lac. Nous sommes différents, nous choisissons chacun un chemin. Ce n'est pas en essayant de me convaincre que je vais perdre cette guerre à la con que je vais faire demi-tour et venir te rejoindre en me trainant à tes pieds comme un bon sujet envers son roi.

Elle jette la cigarette en arrière et observe un peu son jumeau dans les yeux, toujours accroupie à quelques centimètres de lui.

- Dans ce cas j'ai plein de personne sur qui exercer mes pouvoirs.

Il fait un mouvement de cape en se levant et se retournant, il fait disparaître sa soeur chez les victorieux.

Toute cette nuit là, Thuriétait allongée dans des buisson, jumelle en main. Elle observait de près ce qui se passait dans le chateau.
Le lendemain, vers 4h de l'après midi, elle se leva. Elle s'accroupie et mit ses mains sur ses tempes et passe un message télépatique au général.

... Attaquez maintenant, c'est pas grave si l'attaque n'est pas surprise. Alerte tout le monde à la tour, même Mijestia, elle doit être présente. Sur ce, je vais au chateau... En espérant qu'on se revoit un jour, salut.

Elle enlève ses mains et se précipite vers le chateua en courant, elle pénètre enfin le terrain.

- ... Thuri ordonne l'assaut de tout le château, c'est le moment.

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- Guallame, tue la.

- Pourquoi ?

- Tu es sous contrat.

- Ok.

Elle court assez vite, plusieurs fois elle manque de tribucher sur l'herbe sèche.

Elle arrive devant le chateau, éssouflée. Elle éclate soudainement de rire.

- Amuse toi bien, Thuri.

Elle s'approche de la porte, des gardes lui bloquent l'entrée et tende leur lance vers elle. Elle les pointe avec ses mains et les lève un peu. Les gardes se soulèvent du sol en criant et se désintègrent.

La porte s'ouvre et Cyore n'est pas là, c'est Guallame qui siège.

- ...

- Tient on m'ouvre la porte, je suis flatée.

Elle s'approche. Des gardes essayent de l'encerclé mais ils sont tous expulsé violament contre les murs en même temps sans qu'elle ne fasse rien. Elle marche juste en souriant, des yeux montrant une âme diabolique.

- Les gardes ne font que gêner.

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- ... Chargez vous de l'ennemi, je dois m'assurer d'une chose.