A la recherche de Drexore.

Le singe descend et s'approche de lui en tapant sur son torse et en le bombant. Il n'arrive même pas au genou de Guallame.

- Cric !

Il arrète, se transforme en corbeau et va sur l'épaule de sa maitresse.

- Les cycloniens et les célestiens n'ont pas le droit de venir ici, vous devriez être au courant pourtant.

- Et bien, ça tombe bien car je vous expliquez une chose. Je fais comme vous, je ne respecte rien, d'ailleurs si je me faisais surprendre ici je serais morte illico, et le problème c'est que vous n'êtes vraiment, mais vraiment pas, discret avec vos amis, et je risque de me faire choper, voyez vous.

- Et bien allez chercher ailleurs, j'étais là AVANT vous.

Soudain, elle regarde le ciel.

- Un conseil, ne bougez plus.

Quand elle ne bouge plus.

- J'ai dit, ne bougez plus et fermez la!

-Rooh ta gueule.

Guallame s'en va

- Mais quel con !

Elle fonce sur lui et le plaque au sol en faisant une manoeuvre ultra rapide. Elle l'empêche de bouger.
Soudain, le ciel s'assombrit. Des milliers d'oiseaux géants passent, avec un cavalier sur leur dos.

- Putain la connasse !!

Guallame hérisse son dos de pics de glace.

Les pics la traverse, comme si c'était un fantôme. Elle a toujours les yeux rivés vers le ciel et elle guette.

Guallame se téléporte.

Elle s'en fou, elle ne quitte pas des yeux le ciel. Soudain, les oiseaux foncent sur le sol, vers elle. Elle grogne et commence à courir, suivit de l'animal qui se transforme en puma. Ils commencent à la pousruivre mais elle cour trés vite.

- Pfff...

Il retourne voir Roseania.

Soudain elle ralentit. Un oiseazu vole au raz du sol, juste à côté d'elle. Elle sourit au cavalier, l'empoigne par le haut et le fou à terre.

- Encore un stupire esclave humain !

Elle accélère pour rattraper l'oiseau, l'empoigne et monte dessus.

L'animal se transforme en oiseau et suit sa maitresse. Après quelques minutes, elle reussit à les semer. Elle survole les alentours, quand soudain elle voit un camp qui n'est pas sencé être ici. Elle voit plusieurs prisonniers, tous dans un terrible état.

Elle sourit, comme si elle venait d'avoir une idée. Elle saute de l'oiseau à plus de 40 mètres de hauteur, elle attérit lourdement sur les pieds à côté de Guallame, mais elle ne ressent rien.

- Je sais, moi aussi je suis contente de te revoir. Je me permets de te proposer ainsi qu'à tes amis de vous aider, je sais plus de choses que vous. Mais...

Elle ne bouge pas.

- Mais je suis presque aussi forte que toi. Avous.

- ... Moui, c'est vrai. Mais là je jure sur ma propre tête que c'est un marché tout à fait honorable.