retour de chez les dieux 2

- Je vois...

Elle se dirige vers la fenetre et observe la montagne.

- Maintenant tu es un être bon. Tu n'as plus rien à te reprocher. Zaïa ne serait pas avec nous si tu n'avais pas été là avec Maius.

- Je sais que c'est vrai. J'ai tué des millions de gens aussi, pourtant j'en ai sauvé beaucoup.

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Thuri sort de sa chambre, une cigarette à la main. Elle est convoquée dans une salle ronde avec tous les chef des Trissiens.

- Ba, tu sais, en quatre siècle il s'en passe des choses. C'est le père de Tarial qui m'a fait devenir la femme que je suis aujourd'hui, sinon je serais encore à tuer un peu partout dans le monde....

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Ils sont sept. Elle, son ex, Tarial et quatres autres personnes qui ressemble plus à des monstres qu'autre chose. Les deux gardes du corps sont derrière Thuri quand elle s'assoit sur une des chaises autour de la table.

- C'est le roi Arthur qui manque là, ricanne t-elle à cause de la table ronde.

- Oh je vois... Moi c'est Maius qui m'a sauvé avec Roseania..

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- Je ne sais pas ça fait longtemps que j'ai pas vu mes sous fifres.

- Voilà, donc ne sois pas honteux de se que tu as fait avant, on a tous fait des grosses bétises.

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Elle se tourne vers son Ex.

- Je pourrais savoir ce que fais mon père ici ?

Elle le fussile du regard.

Ex : Je crois... qu'on devrait un peu lui expliquer. Mais avant pose cette cigarette.

Elle le regarde, incréduble.

- Pardon ?

Un garde du corps chope la cigarette et l'avale.

- C'est quoi le problème au juste ?!

Ex : Et bien, Tarial est vénéré par les Trussiens car c'est un... Cyclonien assez monstrueux.

Il y a un gros blanc. Puis Thuri éclate de rire.

- Tu rigoles j'espère ?

Voyant tout le monde sérieux, elle arrète de rire.

- Je suis pas une Cyclonienne mon pote, je suis une pure dragonne. Je l'aurais sus depuis un moment, et Cyore aussi d'ailleurs !

- Les cycloniens sont capable de se transformer en dragon. ils ont pas mal d'autres pouvoir phénoménaux, il était assez simple de faire passer ça pour des pouvoir de dragon d'azur... Des pouvoir accrus par rapport aux autres...

- Et comment expliques-tu mon cas alors ? Je ne fais pas expret d'être une dragonne d'azur ! Je suis sure que tu es une autre personne, et je vais découvrir qui. Mon père n'aurait jamais rejoint ce camp.

Elle se lève pour partir mais les deux colosses la fait rassoir.

- Je croyais qu'ils devaient m'obéir ses deux cons !?

- En effet tu n'as pas fais exprès pour naîter.

- Je comprends pas, si je suis une Cyclonienne je l'aurais sus depuis longtemps !

- A toi de voir.

Elle fronce les sourcils et l'observe pendant quelques secondes, pour voir un geste, ou quelques chose d'inabituelle chez lui.

- Admettons que ça soit vrai, je dis bien, admettons. Je refuse que tu me donnes des ordres ou quoi que ce soit, c'est bien clair ? Je crois que je m'y connais mieux que toi en ténèbre.

- J'en doute fort. Guyguy te surpassant de loin, je surpasse Guyguy.

Elle sourit en coin.

Preuve que ce n'est pas père.

- Tu as toujours vécu dans le bien, te fou pas de moi, PERE.

Elle insiste sur le mot père.

- Evidemment, j'ai été séparé en deux, une partie de lumière et une autre de ténèbres, et comme tu as du le voir, la partie de ténèbres l'emportait très souvent.

- Sauf qu'on ne l'emporte pas toujours.

Elle se lève.

- Vous courez à votre perte mes amies.

Ex (doucement, murmurant presque) : Rassit toi! Je t'en pris!

Elle s'éxécuta. Soudain, un des quatres autres pris la parole. C'était une langue bizare.

- J'y crois pas, on parle même pas la même langue ! C'est la meilleure celle la !

Les autres ignorent et écoutent.

Il écoute dans la même posture.

La créature s'arrète. Les autres acquiecent.

- Je pourrais savoir qu'est-ce qu'elle a dit dans cette langue de la préhistoire ?

- Ca fait longtemps...

- C'est l'ancienne langue Trisienne, elle a évolué depuis. Eum, en gros, elle a dit que nous devrions... euh... que nous devrions nous dépecher de faire cette guerre. Par exemple, demain.

- Ou maintenant ? Nous avons toutes nos forces.

Tous le monde aquiesce, sauf Thuri. Elle met ses pied sur la table.

- Vous perdez pas de temps dis donc.