Enlevée par Arao.

Soudain le dragon se réveille.

??? : Arao... Je t'ai dis de pas me réveiller...

- Oh non...

??? : Qu'est-ce que tu veux ?

- Sortir d'ici !

??? : Bah voila suffisait de demander... Mais dis moi... Cette fille, elle est jolie ! Tu veux pas me la passer ?

- Non !

??? : Mais triple con t'as aucune chance avec ! Ca fait des mois que tu la vises et elle est en colère contre toi...

Zaïa fronce les sourcils et range son épée naïvement.

- Attends, tu veux dire que t'es ami avec ce dragon ?! Pourquoi on a tout exploser alors !

??? : Je ne suis pas ami avec lui.

- Plutôt mourir encore une fois !

??? : De toute façon tu es trop con pour elle. Laisses la moi donc.

- Et je suis pas un jouet !!

??? : Elle a du répondant, une compétition.

- ...

Il semble absent.

Elle allait répondre quelque chose quand soudain ses pieds s'enfoncent dans le sol, elle n'arrive pas à les retirer.

- Quoi ?!

Il se ressaisit et prend Zaïa par la main.

Elle la serre fort, paniquée. Elle s'enfonce encore plus.

??? : Ce lieu est instable. Bon bonne chance Arao.

Il se remet à pioncer.

- Voila pourquoi je l'aime pas.

Il se téléporte en entraînant Zaïa avec lui.

Elle ne lache pas sa main et ferme les yeux.

Ils se retrouvent dans une forêt immense, les oiseaux chantent et pas mal d'autre animaux vivent ici, ils sont dans une cabanes en hauteur.

- Voici mon vrai chez moi.

Soudain, elle parrait toute exitée, son visage s'illumine. Elle va tout de suite à la fenêtre de la cabane et se penche dehors.

- J'ai toujours révé de vivre dans une cabane !

Elle rit de joie.

- Content que ça te plaise.

Que ferais un garçon comme lui avec une forêt comme base ?

- Pourquoi vis-tu ici ? Y a des... maisons plus... modestes, on va dire. Et puis tu es loin de tout ici.

- Je suis en paix justement.

La porte étant ouverte, un tigre noir à rayure rouge etp lus grand que la normale fait son apparition.
Il renifle Zaïa et va voir Arao qui le caresse.

- J'aime plus que tout les animaux ici.

Elle s'accroupie et tend sa main pour qu'il vienne, délicatement.

- J'avais un cheval, je l'aimais plus que tout et il m'était fidèle, on ne se séparait presque jamais. Il s'est fait transpercer par une lance lors d'une guerre, je l'ai vu agonisé quelques minutes, avant que je l'achève pour éviter qu'il ne souffre. Je n'ai plus jamais voulu d'animaux pour ne plus revivre ce que j'ai vécu.

- Je comprend, celui ci est le fils den mon préféré, décédé pour m'avoir défendu.

Le tigre s'allonge devant elle.

Elle le caresse derrière ses oreilles.

- Magac adorait ça, les gratouilles derrière les oreilles...

Elle sourit en regardant l'animal.

- Il est docile tant qu'on ne lui touche pas le ventre.

- Beaucoup d'animaux n'aiment pas ça. Je l'ai fait sur un dragon miniature de compagnie, il a craché des flammes sur ma cheville.

- Lui il a été blessé au ventre dernièrement, par un braconnier, si je n'avais pas utilisé mes spécialité en médecine, il ne serait pas là, je ne veux pas que le animaux meurent comme ça.

Elle arrète de la caraisser et parrait attristée soudainement.

- J'ai trés peu de souvenirs de mes parents, j'étais beaucoup trop jeune avant leur mort, mais je me rappelle que mon père ramenait des animaux morts.

- J'ai été justement élevé par le père de ce tigre. C'était un Mlaistien.

Elle se lève.

- Quoi ?! Par un...

- Un déserteur Mlaistien, il voulait vivre en paix avec les animaux, plutôt que de combattre Guallame dans une lutte perdue d'avance, il avait raison, je n'ai rien contre Guallame, mais maintenant que je suis tout seul, je me demande si je devrais pas aller le voir pour un aller simple à l'au dela.